Comment poser ses propres questions au Tarot ou à n’importe quel Oracle ?
Bénédicte tire le Tarot depuis 10 ans. Tous ses amis sont des fans de ses consultations : elle ne se trompe jamais.
Sauf pour elle-même
Dès que ça la touche, Bénédicte est perdue. Ses cartes semblent refléter ce qu’elle a envie d’entendre.
La semaine dernière, sur une question de déménagement, elle ne savait pas conclure finalement, si son tirage lui conseillait de quitter sa maison ou de rester là où elle habite.
Voir pour soi n’est pas impossible même si beaucoup de praticiens ou de livres prétendent le contraire. Cette idée, elle est archi-fausse.😡
Le vrai problème de Bénédicte, c’est sa subjectivité.
Normal ! C’est difficile d’être juge et parti à la fois.
Si vous aussi, comme Bénédicte, vous trouvez ça difficile, suivez ces 3 conseils.
1/ Soyez Alain Delon ! ✅
Désormais, quand Bénédicte se pose une question, elle ne demande pas :
“Que me conseille le Tarot à propos de mon déménagement ?” MAIS
“Que conseille le Tarot à Bénédicte à propos de mon déménagement ?”
Bannissez le “Je” de vos questions pour créer de la distance entre le “praticien” et le “consultant” qui sont pour ce tirage LA MÊME PERSONNE, c’est-à-dire VOUS.
2/ Écrivez vos questions ET la réponse “espérée” ✅
Travaillez à l’écrit pour mieux prendre conscience de vos attentes et de vos craintes. Écrivez la question et en dessous, écrivez que vous aimeriez que ça vous dise plutôt ceci. Même chose si vous avez peur que ça dise plutôt cela.
En écrivant, vous expurgez vos émotions et retrouvez de l’objectivité.
3/ De vraies questions ! Neutres si possible ! ✅
Cessez les formulations du type : “Est-ce que mon problème va encore se dégrader ?”. Demandez ça et vous aurez le tirage de l’horreur.😱
Demandez toujours : “Comment puis-je améliorer mon problème ?”
Essayez ça change tout ! 😃
Les bons praticiens sont ceux qui posent de bonnes questions. Connaître le support divinatoire n’est finalement qu’un détail.
En 20 ans d’animation de stage, j’ai élaboré une méthode baptisée “l’art de questionner les supports divinatoires” que je distille dans toutes les formations que j’anime.
Parce que connaître un support ne suffit pas, savoir l’interroger est capital !
Dans la vidéo ci-dessous, j’explique brièvement comment formuler quelques questions bien ciblées sur une thématique professionnelle. C’est l’oracle de Belline qui est utilisé mais ça marche “tout pareil” avec n’importe quel autre support 😉
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