Le Pendu dans le Tarot… une période de suspens tellement similaire au confinement.
Aujourd’hui, je vous parle du Pendu qui a souvent mauvaise presse auprès des consultants.
Vous verrez, elle tombe à point nommé dans cette période.
Le Pendu dans un tirage marque en général un blocage, un fort ralentissement voire un temps d’arrêt.
Si on essaie de voir dans quelle direction évolue une situation, cet arcane indique que l’orientation est plutôt inexistante. Vu comme cela, c’est plutôt déplaisant.
Mais observez bien notre pendu et plus particulièrement son visage et le sentiment qu’il inspire. Il n’a pas l’air inconfortable.
Les mains dans le dos nous montre sa volonté de ne pas agir.
Le personnage est dans l’acceptation. Cette carte représente donc le don de soi, la générosité chez une personne.
En fait, ce temps de pause peut être mis à profit, notamment en observant la situation autrement, sous un autre angle, en réfléchissant.
Cette situation d’attente est également le terreau des actions futures, de leur préparation. Ainsi, cet arrêt peut être intéressant pour le consultant. Bien évidemment cela dépend de la question posée et de la situation dans le tirage. Si on cherche un conseil, le profit est largement supérieur au résultat d’une évolution de carrière!
En termes de rythme, le Pendu ralentit le tirage, il l’étire dans le temps.
Le Pendu est également la lame générique de la santé.
Il nous parle de temps de pause mis à profit, autrement dit d’une convalescence qui se passe bien.
Enfin, suivant la manière dont vous ressentez votre tirage, la lame peut nous parler de lien, notamment dans les situations amoureuses.
Même si l’information première peut être une situation bloquée, il se peut qu’en dessous, on trouve un lien toujours existant entre les protagonistes.
Cela peut expliquer le retour de cet ex ou le fait que le consultant pose la question sur une relation passée: le lien n’est pas rompu !
Vous l’aurez compris, le Pendu est une lame de circonstance : temps de pause, réflexion, santé et finalement lien humain.
Vivement que je vous parle de renaissance avec le Jugement !