[ANNONCE] Ateliers Yi-Jing et Runes cet automne SUR PLACE ou EN VISIO.
La saison 2019-2020 touche à sa fin, l’occasion de faire le point sur les activités qui s’annoncent après l’été.
Après le prochain stage Tarot des 17-18-19 Juillet, le Master Class de juin sur « comment développer son activité et en vivre ? », je suis très heureux de vous proposer de découvrir et d’apprendre d’autres supports que des formateurs passionnés vous enseignent.
Les cartes sont des supports divinatoires occidentaux et relativement « récents ».
Les origines historiques avérés du Tarot, c’est la Renaissance Italienne, le début du XVIème siècle et l’Oracle de Belline, inspiré du Tarot et du Lenormand, c’est le milieu du XIXème siècle.
Pour utiliser un support divinatoire il faut bien sûr le connaitre mais aussi comprendre le contexte culturel et historique dans lequel il a été conçu.
Je l’ai encore répété aux 12 stagiaires présents du Stage Belline du week-end dernier.
Pour assimiler certaines cartes du Belline par exemple, il faut se rappeler par exemple, qu’elles ont été conçues à une époque où les femmes ne gagnaient pas leur vie par elle-même. Au XIXème siècle, on s’éclairait avec des bougies et des lampes à huile. Le chemin de fer n’était qu’une innovation technologique qui faisait fantasmer autant que l’Intelligence Artificielle aujourd’hui.
Quand on envoyait un message, il ne prenait pas une demi seconde pour arriver à son destinataire. Si vous écriviez “je t’aime, veux-tu m’épouser ?”, votre amoureux.se ne lisait votre demande que plusieurs jours plus tard.
Tout était tellement plus lent qu’aujourd’hui ! On se déplaçait à pied ou à cheval, et faire le trajet Paris-Lyon prenait une semaine d’un voyage épuisant et inconfortable même si vous aviez les moyens de vous payer une place dans une dilligence rapide.
Dimanche dernier, quand j’ai quitté Paris pour rentrer chez moi à Lyon, après le stage Belline, le TGV a mis 2h.
Avant le Tarot et le Belline, d’autres Oracles existaient !
Car fabriquer et interroger des oracles est une activité très ancienne.
Dans les pays du nord, on a ainsi utiliser les Runes.
Mi alphabet, mi talisman, les Runes sont tapis dans l’inconscient collectif des sociétés scandinaves. Les mythes et légendes de ces royaumes sont suffisamment populaires pour se retrouver notamment dans les oeuvres célèbres de Tolkien, auteur du Seigneur des Anneaux.
Les Runes seront l’objet d’un atelier animé par Didier Goutman le dimanche 22 Novembre 2020.
Cliquez ici pour en savoir + sur l’atelier Runes de dimanche 22 Novembre 2020
Coach en entreprise et auteur de plusieurs livres sur les arts divinatoires, Didier animera aussi avant l’atelier Runes un passionnant atelier sur le Yi-Jing.
Le Yi-Jing, c’est peut-être l’oracle le plus ancien du monde pour lequel nous disposons encore de traces écrites.
Apparu il y peut-être 3000 ans dans les régions qui deviendront la Chine, ce langage si particulier est profondément ancré dans la philosophie et la société chinoise aujourd’hui.
Alors que la Chine est désormais un acteur du monde économique et finira même par détrôner les États-Unis en tant que première puissance technologique, n’est-il pas intéressant pour nous occidentaux, de regarder les fondements de cette civilisation a priori si différente ?
Le Yi-Jing est un langage fabuleux qui dans les divinations personnelles de ceux qui l’emploient, ne se trompe jamais…
On me demande souvent si en tant que « voyant » je vois pour moi-même.
La réponse est « oui » à condition que je gère correctement mes émotions et mes attentes. Car les émotions, lorsqu’elles sont fortes, prennent facilement la place de l’intuition et se font passer pour celles-ci.
Mais pour couper court à cette influence, rien de mieux que l’utilisation du Yi-Jing.
Pour faire simple, on peut dire que le Yi-Jing se compose de 64 figures différentes qui s’obtiennent par un procédé de tirage qui peut se résumer à 3 pièces de monnaies.
Très simple.
On les lance toutes les 3.
Selon que les pièces retombent sur pile ou face, on obtient un certain type de « vibration » féminin ou masculin : le fameux yin ou yang. Si c’est Yin, on trace un trait brisé. Si c’est Yang, on trace un trait plein.
Et on recommence 5 fois pour obtenir une superposition de 6 traits, mélange traits pleins ou brisés.
Il y a 64 figures possibles. Ce type de figure s’appelle Hexagramme. En grec, Hexa- signifie 6. Comme dans Hexagone qui veut dire figure géométrique à 6 côtés. (Il parait que la France ressemble à ça…)
Chaque Hexagramme a une signification particulière et le procédé de tirage échappe totalement à l’influence des émotions et des attentes.
Et donc, quand je veux voir quelque chose pour moi, c’est très souvent que je laisse de coté mes cartes et tarots trop facilement influençables : je choisis de lancer des pièces. Une figure de Yi-Jing ne peut pas être « influencée ».
En septembre, vous aussi découvrez le Yi-Jing avec Didier Goutman : Samedi 26 Septembre de 9h30 à 17h30 sur place ou en restant chez vous grâce à notre système de retransmission en direct.