Comment traiter un choix professionnel avec un Tarot ? (ou n’importe quel autre support) [TUTORIEL]
Comment poser ses questions à un Tarot (ou n’importe quel autre support) ?
J’aime beaucoup cette citation d’Albert Einstein :
« Si je disposais d’une heure pour résoudre un problème et que ma vie en dépende, je consacrerais les 55 premières minutes à définir la question appropriée à poser, car une fois cela fait, je pourrais résoudre le problème en moins de cinq minutes » Albert Einstein.
Hier, dans l’espace communautaire de Clevao Formations, Estelle se demandait comment répondre à cette problématique d’emploi et de risque de changement.
Une stagiaire lui a répondu mais malheureusement, c’est l’exemple type d’une mauvaise question à poser.
Malheureusement, ce n’est pas une bonne question.
Pourquoi ? Parce que c’est une question fermée, limitée qui force le support à répondre par Oui ou par Non sur des éléments subjectifs de « bénéfice » .
Or ces termes : « bénéfique, bon, mauvais, positif, négatif, heureux, malheureux » sont des mots valises qu’il faut bannir de votre vocabulaire lorsque vous posez des questions à vos arts divinatoires.
De plus, le praticien doit être neutre, sans prendre partie. Qu’est-ce que cela signifie « un poste bénéfique » ? Bénéfique en quoi ? Rémunération, bien-être avec les collègues, intérêt du travail ?
Une telle question amène toujours une réponse très vague. Or un praticien doué doit absolument être détaillé dans sa réponse, spécifique, précis…
Un praticien ne peut se contenter de dire : « Oui c’est bon pour vous de faire ça… »
Alors quelles questions poser ?
Voici des exemples :
C’est là que la citation d’Einstein prend tout son sens : avant de faire le moindre tirage, on réfléchit et on pose les bonnes questions.
Bien souvent d’ailleurs : il faut poser plusieurs sous-questions pour avoir un panorama complet de la demande complète du consultant.
Eh oui, le consultant expose sa demande mais le praticien, avant de toucher son tarot doit reformuler celle-ci en autant de questions que nécessaire et effectuer ensuite plusieurs tirages.
Ici, il y a 6 questions au lieu d’une seule dans cet exemple qui ne sont pas les seules questions possibles d’ailleurs.
Faut-il faire 6 tirages différents ? Pourquoi pas oui. En tous cas les 4 premiers sont très utiles.
Quels tirages ?
Peu importe. Le tirage en lui-même n’est pas si important que cela : ce qui compte c’est d’avoir une question, c’est-à-dire une intention clairement définie.
Donc on peut réaliser un tirage en croix ou un tirage à 3 cartes, à deux cartes, etc…
L’idéal est de ne pas s’encombrer avec des tirages incluant beaucoup de cartes, d’enchainer assez vite les questions pour répondre au consultant sur sa demande initiale.
Si vous faites des consultations ne serait-ce que pour vous-mêmes, inspirez-vous de cette stratégie de questionnement.